Notre plus, aller au-delà

D’abord dans nos équipes, à travers la promotion de la parité, mais aussi dans les représentations, à l’écran et dans les communications, que nous souhaitons non-stéréotypées et diversifiées.

• Création par STUDIOCANAL du premier fonds de soutien aux femmes scénaristes et réalisatrices françaises (1 million d’euros).
• 95% * des collaborateurs du Groupe sensibilisés au sexisme ordinaire et au harcèlement à travers le monde (*fin 2023).
• Mise en place d’indicateurs et d’outils de mesure de la présence des femmes dans le management et au sein des contenus phares du Groupe, pour favoriser la parité ainsi qu’une représentation non-stéréotypée des personnes.

Et notamment les différences liées à l’âge, à l’état de santé, au handicap, à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre, et à l’origine, qu’elle soit ethnique, culturelle, sociale ou géographique. Nous agissons pour sensibiliser, promouvoir l’inclusion en interne et dans nos contenus.

Nous mettons nos expertises au service des plus jeunes et développons les talents locaux.

• CANAL+ SOLIDARITY, programme de mécénat de compétences permettant à tous les collaborateurs de consacrer jusqu’à trois jours de temps de travail à des missions de volontariat aux côtés d'associations.
• Inauguration du premier Comptoir Café Joyeux Inside au sein du siège français, CANAL+ ONE. Le Groupe CANAL+ devient ainsi la première entreprise en France à accueillir ce concept inédit.
• Création de Dystitles, les premiers sous-titres adaptés à la lecture des personnes dyslexiques et non dyslexiques, une première mondiale.
• Partenariats avec la CinéFabrique et la Cité Européenne des Scénaristes, et réouverture du BUREAU DES AUTEURS - pool interne de jeunes auteurs et autrices -, pour œuvrer en faveur d'une plus grande diversité dans l'écriture des scénarios de films et de séries TV.
• Diffusion sur CANAL+ Outremer du documentaire Louïz, De l’Évolution à la [R]Évolution, artiste réunionnaise transgenre.
• CANAL+ University : former les professionnels de l’audiovisuel et du cinéma souhaitant bénéficier d’une remise à niveau en Afrique : en 2022, 15 pays concernés, 3 332 heures de formation, 1 350 participants.
• Programme Orphée : donner accès à l’éducation et au divertissement à tous les jeunes enfants fragilisés en Afrique / 13 260 enfants bénéficiaires et + de 50 orphelinats équipés de salles CANAL+ avec accès à la chaîne éducative NATHAN+, qui propose des cours de français et de mathématiques.

Mieux maîtriser notre impact environnemental et intégrer la nécessité de préserver les limites planétaires dans nos activités.

• 30% de réduction de l’impact carbone d’une consommation vidéo sur myCANAL en 3 ans.
• Bilan carbone de la fabrication du dernier modèle de décodeur CANAL+ inférieur de 40% par rapport au modèle précédent et recyclage des anciens décodeurs sur nos territoires.
• Prix Argent du Grand Prix de la Responsabilité des Médias pour l’appel à projets de CANAL+ Réunion "S’engager pour l’avenir", opération 100% locale permettant d’accompagner des projets de courts métrages créatifs et inspirants et de documentaires engagés.
• Membre fondateur d’ECOPROD, le Groupe CANAL+ s’engage depuis 2019 pour des pratiques éco-responsables dans ses tournages et compte notamment deux productions labellisées "ECOPROD Pionnier", avec l’émission ENVIE D’AGIR sur C8 et la troisième saison de la Création Décalée CANAL+, NARVALO. Le Groupe CANAL+ s’engage à ce que 100% des Créations Originales et Décalées produites en France soient labellisées ECOPROD à partir de 2024, en commençant par TERMINAL.

Le Groupe CANAL+ a la volonté d’inscrire son développement dans une démarche éthique, en menant ses activités dans le respect du Programme de conformité de Vivendi. Nous déployons ainsi depuis plusieurs années les mesures visant à prévenir les risques de corruption et d’atteintes graves, susceptibles d’être causées par nos activités ou celles de nos fournisseurs et sous-traitants, envers les droits humains et les libertés fondamentales, la santé et la sécurité des personnes ainsi que l’environnement. L’objectif est de prévenir, d'identifier et de remédier à toute situation à risque.

Dans ce cadre, un ensemble de règles relatives à la prévention et à la détection des risques de corruption et de trafic d’influence a été défini et réuni dans un Code anticorruption. Les dispositions de ce Code anticorruption sont applicables à l’ensemble des collaborateurs du Groupe CANAL+ et de ses partenaires.

La Charte achats responsables définit les principes applicables aux activités relatives aux achats et à la chaîne d’approvisionnement et rappelle les attentes du groupe en matière éthique, sociale et environnementale. Cette Charte est applicable à l’ensemble du Groupe CANAL+ et il est demandé à ses fournisseurs de s’engager formellement à appliquer eux-mêmes des standards élevés d’éthique et de veiller à préserver les droits humains.

Conformément aux dispositions de la loi du 9 décembre 2016 dite "loi Sapin 2" et aux dispositions de la loi sur le devoir de vigilance du 27 mars 2017, un dispositif d’alerte a été mis en place afin de permettre aux collaborateurs du groupe, à ses collaborateurs extérieurs et occasionnels, à ses cocontractants ainsi qu’à leurs sous-traitants, depuis la France ou l’étranger, d’émettre une alerte relative à :

• Tout manquement aux dispositions du Code anti-corruption.
• Tout manquement au devoir de vigilance (atteintes graves liées aux activités du groupe ou de celles de ses sous-traitants et fournisseurs envers les droits humains et les libertés fondamentales, la santé et la sécurité des personnes ainsi que l’environnement).
• Tout autre manquement (un crime ou un délit, une violation grave et manifeste d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, une violation d’une loi ou d’un règlement, une menace ou un préjudice grave pour l’intérêt général).

Les différentes possibilités de remontée d’alerte sont les suivantes : par la voie hiérarchique, via la Compliance Officer de chaque entité, via ce site d’alerte.